On parle souvent de l'après, de nos vies en chantier
De cette putain de trouille qui ouvre ton regard
Habillé de convenances
Jamais franc et droit, arrondir les angles
Sortez les faux culs qu'on les taille en pointe
Les lancer dans le tas…
et foncer dans le tas
Et foncer dans le tas
et foncer dans le tas
et foncer dans le tas
On parle souvent de l'après, de ce qui aurait pu
Se faire mais qu'on a pas fait, pour sûr
Puisque c'est acquis, pourquoi ne pas s'en tenir là
Au goût light, sucré, salé, espèce d'enfoiré
Le sens de l'harmonie me fou les boules, plus qu'à
Les lancer dans le tas…
et foncer dans le tas
Et foncer dans le tas
et foncer dans le tas
et foncer dans le tas
dans le tas
dans le tas
dans le tas